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Les canevas organisationnels | |
Toute organisation peut être regardée et analysée sous plusieurs angles. Social business Models représente ces angles ou facettes par des canevas:
Pour en savoir plus, choisissez un canevas, puis le bloc qui vous intéresse... |
Titres des canevas | |
tca1 | Canevas du modèle d'affaires |
tca2 | Canevas de la gouvernance |
tca3 | Canevas de la stratégie |
tca4 | Canevas de la RSE |
tca5 | Canevas des valeurs |
tca6 | Domaine des porteurs et porteuses de projets |
Descriptions des canevas | |
dca1 |
Le canevas du modèle d'affaires représente la raison d'être de l'organisation, la facette permanente où se définit sa mission. C'est ici que se construit la logique organisationnelle en répondant à huit questions fondamentales. Il définit en quelque sorte le moteur de l'organisation. Il peut être utilisé lors de la conception du projet organisationnel, actualisé lors de sa maturation ou encore lors des phases de diagnostic et repositionnement stratégique. C'est non seulement un outil de "brainstorming" structuré, idéal pour être utilisé en équipe, mais aussi un outil de documentation tout au long de la vie de l'organisation. |
dca2 |
Le canevas de la gouvernance est une aide à la réflexion sur les relations avec toutes les parties prenantes de l'organisation, qu'elles soient externes, de frontière ou internes. Il facilite leur identification et permet de percevoir les jeux d'influence et de pouvoir sur les décisions de l'organisation. Mais c'est aussi un outil utile pour réfléchir à la forme juridique que l'on choisira ou pour identifier les publics-cibles de nos communications internes ou institutionnelles. |
dca3 |
Le canevas de la stratégie représente la facette dynamique de l'organisation, avec ses projets, qui lui permettront d'avancer en direction de sa vision du futur. C'est sur lui que reposent les outils de diagnostic et évaluation organisationnelle, que se décident les axes et orientations stratégiques, ainsi que se décident et naissent la plupart des projets d'amélioration et évolution. |
dca4 |
Le canevas de la RSE définit l'imbrication du modèle des questions centrales de la responsabilité sociétale des entreprises avec le modèle d'affaires de l'organisation. Son objectif est de permettre le croisement entre un nombre considérable d'actions possibles, telles que présentées dans la recommandation ISO 26000 et les questions de base de l'organisation, tout en respectant un alignement sur les valeurs qui animent l'organisation. C'est ici que sont réfléchis tous les aspects impliquant l'organisation dans le développement durable. |
dca5 |
Le canevas des valeurs est un subtil mélange de croyances et de valeurs partagées qui s'ajoutent à l'histoire pour en définir ses principes d'action et le comportement rechercher chez celles et ceux qui y travaillent. Les valeurs partagées et les principes d'action forment un axe central qui imprime de la cohérence à l'organisation, dans toutes ses facettes. En quelque sorte, il représente l'âme ou le "combustible" de l'organisation. |
dca6 |
Bien que n'étant pas un canevas, ce domaine se réfère aux divers outils transversaux, concernant les personnes, les équipes qui portent ou pilotent le projet d'organisation. C'est ici que l'on se penche sur des questions d'innovation, de profils de compétences, de méthodes d'animation et de modèles de de gestion organisationnelle. |
Titres des blocs du canevas de modèle d'affaires | |
cma1 | Où: le contexte, l'environnement |
cma2 | Pourquoi: les besoins des publics-cibles |
cma3 | Qui: les publics-cibles |
cma4 | Par quoi: les canaux |
cma5 | Quoi: les prestations, la proposition de valeur |
cma6 | Avec quoi: toutes les ressources de production |
cma7 | Vérifiable: les mesures des résultats |
cma8 | Avec qui: partenaires et alliés |
Descriptions des blocs "Modèle d'affaires" | |
dma1 |
Cette question de base se réfère au contexte dans lequel le modèle d'affaires se développera. Vous pouvez la décliner en:
C'est aussi dans ce contexte que l'on retrouvera les concurrents. |
dma2 |
Cette question de base se réfère essentiellement à l'impact sociétal que le modèle d'affaires pourra provoquer. Vous pouvez la décliner en:
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dma3 |
Cette question de base se réfère à tous les publics-cibles pour qui le modèle d'affaires devra satisfaire à des besoins. Vous pouvez la décliner en:
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dma4 |
Cette question fait allusion au pont entre les futures prestations produites par le modèle d'affaires et les différents publics-cibles. Vous pouvez la décliner en:
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dma5 |
Cette question fondamentale fait référence à ce que le modèle d'affaires fournira à ses publics-cibles. Vous pouvez la décliner en:
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dma6 |
Derrière cette question se cache toute la production du modèle d'affaires, en incluant:
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dma7 |
Cette dernière question ferme la boucle, en regard au "Pourquoi", partant du principe de ce qui n'est pas mesurable est pure subjectivité. Vous pouvez la décliner en:
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dma8 |
Cette question reflète le dicton "Seul on va vite, ensemble on va loin". Vous pouvez la décliner en:
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Titres des blocs du canevas de de gouvernance | |
cgo1 | Membres / associés |
cgo2 | Comité / conseil |
cgo3 | Direction / secrétariat |
cgo4 | Staff |
cgo5 | Bénévoles |
cgo6 | Bénéficiaires |
cgo7 | Clients |
cgo8 | Fournisseurs |
cgo9 | Financeurs |
cgo10 | Partenaires |
cgo11 | Secteur public |
cgo12 | Concurrents |
cgo13 | Prescripteurs |
cgo14 | Société |
cgo15 | Monde politique |
cgo16 | Médias |
cgo17 | Faiseurs d'opinion |
Descriptions des blocs du canevas de de gouvernance | |
dgo1 |
Ce sont les membres de l'organisation ou coopérateurs ou encore associés, en fonction de la structure juridique. Les membres représentent l'autorité suprême de l'organisation, ayant le pouvoir de nommer le comité, lui donner décharge, approuver ou réprouver les documents fondateurs. Les membres sont aussi une pièce maîtresse de l'organisation, gardiens de ses valeurs et de sa vision du futur; ce sont eux qui doivent formaliser ou avaliser les grandes orientations stratégiques. |
dgo2 |
C'est le groupe des personnes élues par les membres de l'organisation lors l'Assemblée générale ou autre événement similaire, qui ont pour tâche principale de garantir que les buts, les valeurs, la vision et la stratégie globale de l'organisation soient correctement mises en oeuvre. Lorsque l'organisation est encore jeune, ce sont souvent ses membres fondateurs et elles cumulent les actions stratégiques, de communication et d'exécution. Plus tard, leur rôle évolue plus vers une posture d'interface entre les membres et le staff, ainsi que d'autorité de contrôle de la "bonne marche" de l'organisation. |
dgo3 |
En fonction de la taille de l'organisation, c'est la personne ou ce sont les personnes qui pilotent l'exécution des diverses activités de l'organisation et présentent les résultats obtenus à son comité ou conseil d'administration. Il est parfaitement possible que ce niveau n'existe pas formellement, lorsque l'organisation est encore très petite. Les noms attribués aux postes occupés par ces personnes varient entre directeur, secrétaire général, coordinateur, etc... |
dgo4 |
Ce sont les personnes salariées, engagées à temps plein ou partiel par l'organisation, pour s'occuper de tâches spécifiques. Le fait d'avoir une équipe salariée implique que l'organisation ait développé un modèle économique relativement stable, permettant de compenser les dépenses financières par des entrées. Lorsque l'organisation a la taille d'avoir un staff en plus de bénévoles, elle se doit de réfléchir attentivement à son mode de gestion. Une gestion participative implique automatiquement un fort pouvoir d'influence sur les prises de décision de l'organisation. |
dgo5 |
Ce sont les personnes non salariées, travaillant à temps partiel pour l'organisation, hormis le comité ou le conseil. Plus généralement actives dans l'exécution des activités productives de l'organisation, elles peuvent aussi assumer des tâches de conseil et de support. Une gestion participative devrait impliquer un pouvoir d'influence de leur part sur les prises de décision de l'organisation. |
dgo6 |
Les bénéficiaires directs, usagers ou bénéficiaires indirects sont les personnes pour qui l'organisation a développé et produit ses prestations, dans le but de satisfaire leurs besoins. Les bénéficiaires directs ou usagers reçoivent les prestations de l'organisation, sans nécessairement payer directement pour elles (une autre source financière existe ou peut exister pour les produire). Cependant, s'ils paient, alors ils ont aussi la casquette de clients. Les bénéficiaires indirects ne reçoivent pas les prestations, mais en bénéficient généralement par personne interposée. Leur gouvernance peut s'exercer de diverses formes, telles que l'acceptation et utilisation des prestations, en cas de solutions alternatives ou de simple résistance au changement. |
dgo7 |
Les clients de l'organisation sont les personnes, les institutions ou d'autres acteurs qui paient pour la production des prestations. Ils peuvent le faire pour leur propre usage, jouant aussi le rôle de bénéficiaires ou usagers, ou pour que d'autres personnes puissent en bénéficier. C'est très souvent le cas des services publics qui financent des tiers pour que des prestations puissent être fournies pour des publics-cibles déterminés. Leur gouvernance peut s'exercer, entre autres, par une forte pression sur les prix des prestations, en fonction des propositions de la concurrence directe et indirecte. |
dgo8 |
Sans les fournisseurs de biens et services, il est fort probable que l'organisation ne puisse produire ses prestations. Il est évident que leur influence sera moindre lorsque l'organisation ne produit que des services ou que le nombre de fournisseurs est suffisamment grand pour éviter qu'elle ne soit captive de certains. Leur gouvernance peut s'exercer, entre autres, par une influence sur les prix et conditions de leurs prestations, surtout lorsqu’ils sont en position d’exclusivité ou de cartel. |
dgo9 |
Les financeurs sont tous ceux et toutes celles qui apportent des ressources financières à l'organisation. Ils peuvent être aussi bien des clients que des membres cotisants, des banques, des fondations, des services publics, des donateurs ou encore des mécènes, etc. Leur gouvernance peut s'exercer, entre autres, par des pressions sur les prix, des refus de négociation ou de flexibilisation de conditions de financement ou renouvellement, ou encore de délais de remboursement. |
dgo10 |
Les partenaires sont les entités qui exercent des activités dans le contexte et dont les prestations montrent une complémentarité avec les propres prestations de l'organisation. Des contrats de partenariat ou d'alliance peuvent alors être établis pour que les organisations puissent, en joignant leurs efforts, produire plus d'impact qu'en travaillant seules. Leur gouvernance peut alors s'exercer, entre autres, par une participation directe aux prises de décision sur les actions communes. |
dgo11 |
Le secteur public exerce, par définition, une forte gouvernance sur pratiquement toutes les organisations du secteur privé. Non seulement dans la figure d'un éventuel client unique payeur de prestations pour un public-cible déterminé, il joue principalement le rôle de régulateur. Sa gouvernance peut alors s'exercer, entre autres, par des lois concernant les organisations, le travail, la libre concurrence, des normes sur l’adéquation des lieux de travail et la sécurité, des contrôles sanitaires, la fiscalité et les assurances sociales… |
dgo12 |
Acteurs à ne pas négliger, les concurrents peuvent se présenter dans plusieurs cas de figure. Sur le marché, avec des prestations identiques ou similaires, mais aussi avec des prestations de substitut. Ils peuvent être peu ou nombreux, forts ou faibles, actifs ou endormis, accommodants ou agressifs. Il ne faut pas oublier la concurrence auprès des bailleurs de fonds, qui n'est de loin pas négligeable lors des demandes de subventions ou donations. Leur gouvernance peut alors s'exercer, entre autres, par des pressions sur les prix, du dumping, de la concurrence déloyale, de la publicité mensongère ; mais aussi positivement par des accords de concurrence loyale en « coopétition », des échanges de mandats en cas de surcharge, etc. |
dgo13 |
Les prescripteurs sont toutes les personnes ou organisations qui jouent le rôle de relais, que ce soit par diffusion de l'information, conseils ou recommandations. Les prescripteurs n'ont, en principe, aucune relation d'affaires (financière ou autre) avec l'organisation, mais agissent en général en fonction d'un capital "sympathie". Leur gouvernance peut s'exercer, entre autres, par un désintérêt de la cause soutenue par l'organisation, d'exigences de contreparties en espèce ou nature, une loyauté vacillante… |
dgo14 |
La société est représentée par l'entourage proche ou éloigné de l'organisation et de ses bénéficiaires directs ou indirects, sous la forme de communautés ou de groupes d'intérêts. L'organisation étant un être vivant dans un écosystème, elle y exerce automatiquement des influences, par les échanges qu'elle a avec des parties prenantes ou par sa simple présence. En retour, elle est aussi influencée par cet écosystème. La gouvernance de la société peut s'exercer, entre autres, par des pressions de la part d’ONGs ou de syndicats, des procédures de bon voisinage avec l’économie et la société locale, la reconnaissance par la population de l’utilité de l’organisation, des pressions populaires concernant l’environnement, etc. |
dgo15 |
Le secteur politique, peut aussi influencer l'organisation et ses activités, par un soutien politique, l'ouverture de marchés, un rôle d’influence dans des accords de financements, etc. Plus difficilement identifiable et mesurable, cette influence peut malgré tout être décisive sur certaines opérations de l'organisation. |
dgo16 |
La presse écrite ou orale, les revues spécialisées, les reportages télévisés, les articles dans les journaux, les réseaux sociaux, les références sont autant de vecteurs d'influence. Non seulement ces parties prenantes peuvent relayer de l'information, comme elles peuvent propager une image positive (ou négative) de l'organisation. |
dgo17 |
Les faiseurs d'opinion sont toutes les personnes bénéficiant d'une notoriété reconnue, capables d'influencer l'organisation par personne interposée. Parmi elles, on retrouvera des personnalités publiques ou scientifiques ou même des bloggueurs sur internet. Non seulement ces parties prenantes peuvent relayer de l'information, comme elles peuvent propager une image positive (ou négative) de l'organisation. |
Titres des blocs du canevas de stratégie | |
cst1 | Vision et scénarios |
cst2 | Diagnostic et évaluation |
cst3 | Stratégie et objectifs |
cst4 | Actions et projets |
Descriptions des blocs du canevas de stratégie | |
dst1 |
La vision du futur de l'organisation est inséparable de sa mission. Alors que la mission de l'organisation est sa raison d'être, pratiquement permanente et statique, la vision du futur représente la facette dynamique. La vision du futur est une double projection:
Les scénarios sont des projections plus proches dans le temps, en fonction de plusieurs variantes, mais alignées à long terme avec la vision. |
dst2 |
Les diagnostics et l'évaluation de l'impact de l'organisation dans son environnement sont les outils nécessaires pour connaître le présent, en s'appuyant éventuellement sur le passé et les tendances. Ils sont indispensables pour pouvoir tracer correctement toute stratégie et prendre les décisions en conséquence. Les diagnostics peuvent s'appuyer sur les autres canevas et analyser :
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dst3 |
Les stratégies sont, en quelque sorte, le pont que l'on trace entre le présent et la vision du futur de l'organisation. Elles visent principalement à implanter, renforcer, améliorer, voire éliminer les processus organisationnels, en cherchant l'équilibre adéquat entre:
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dst4 |
Les actions et les projets stratégiques sont la concrétisation de la stratégie, ayant pour but d'agir sur les processus de l'organisation. Ils ne doivent pas être confondus avec les prestations conduites et délivrées sous la forme de projets auprès des publics-cibles. La propre création et implantation d'une organisation doit être considérée comme un projet. |
Titres des blocs du canevas de RSE | |
crs1 | Droits de l'homme |
crs2 | Environnement |
crs3 | Loyauté des pratiques |
crs4 | Questions relatives aux consommateurs |
crs5 | Relations et conditions de travail |
crs6 | Communautés et développement local |
Descriptions des blocs du canevas de RSE | |
drs1 | Devoir et responsabilité de respecter les droits de l'Homme, y compris dans sa sphère d'influence, essentiels pour le principe de légalité et les concepts de justice sociale et d’équité. |
drs2 | Approche intégrée qui prend en compte les implications directes et indirectes de leurs décisions et de leurs activités d'un point de vue économique, social, sanitaire et environnemental. |
drs3 | Concerne la conduite éthique des transactions entre une organisation et d'autres organisations, englobant les relations entre les organisations et des organismes publics ainsi qu'entre des organisations et leurs partenaires, fournisseurs, sous-traitants, clients, concurrents et les associations dont elles sont membres. |
drs4 | Responsabilité de l'organisation vis à vis de ses consommateurs et de ses clients, concernent, entre autres, les pratiques loyales de commercialisation, la protection de la santé et de la sécurité et une consommation durable. |
drs5 | Englobent toutes les politiques et pratiques liées au travail réalisé au sein d’une organisation, par elle ou pour son compte, y compris en cas de sous-traitance. |
drs6 | Englobe l’appui et la construction d'une relation avec les communautés, ainsi que le partage des intérêts communs avec elles, au-delà de l’identification des parties prenantes et du dialogue avec elles en ce qui concerne les impacts des activités de l’organisation. |
Titres des blocs du canevas des valeurs | |
cva1 | Croyances individuelles |
cva2 | Valeurs partagées |
cva3 | Culture organisationnelle |
cva4 | Comportements |
cva5 | Principes d'action |
Descriptions des blocs du canevas des valeurs | |
dva1 |
Fortement internalisées dans toutes les personnes de l’organisation et partagées dans une certaine mesure. Elles trouvent leurs origines dans des notions telles que celle de l’existence des choses, alors que les valeurs sont plus axées sur la notion de bien et de mal, mais s’appuient souvent sur les croyances. Les croyances, sont l'essence même de la culture organisationnelle car elles conditionnent les valeurs, les comportements, guident la compréhension, l’apprentissage, l’action, et sont profondément enracinées dans les membres de l'équipe qu’elles résistent souvent aux changements. |
dva2 |
Selon le dictionnaire Larousse, les valeurs représentent « Ce qui est posé comme vrai, beau, bien, d'un point de vue personnel ou selon les critères d'une société et qui est donné comme un idéal à atteindre, comme quelque chose à défendre ». Les valeurs influencent directement les comportements individuels et, lorsqu’elles sont partagées dans une organisation ou une entreprise, elles sont à la source des principes d’action qui influenceront à leur tour son mode opératoire, ses prises de décision, ses modes relationnels et même sa stratégie. |
dva3 |
Ce que l’on appelle communément la « culture de l’entreprise » repose généralement sur un ensemble de croyances personnelles, de valeurs partagées, de règles, de tabous, de codes de déontologie, entremêlés et fusionnés avec son histoire. C'est la culture organisationnelle qui devient le centre du comportement organisationnel dans la société. |
dva4 |
Les comportements représentent la traduction individuelle des valeurs partagées dans l'organisation. Ils se manifestent dans la forme d'agir des personnes. |
dva5 |
Les principes d'action sont l'internalisation des valeurs dans des normes, des codes de conduite, des règlements internes de l'organisation. Ils orientent la culture organisationnelle, donnent de la légitimité aux valeurs et sont, à leur tour renforcés par la culture de l'organisation. Ils sont, en principe, toujours énoncés par des verbes à l'infinitif. |